Chez la FT Racing Academy notre mission est simple : former les très jeunes pilotes pour qu’ils puissent intégrer un jour une équipe professionnelle quels que soient les championnats de vitesse, d’endurance et de superbike.
Notre terrain de jeu : le FSBK. Il s’agit du championnat national comportant le plus de participants avec plus de 300 pilotes. Alors, le spectacle ne peut qu’être au rendez-vous !
Équipe privée, nous ne recevons aucune aide publique ni subvention. Nous existons uniquement grâce à notre passion, notre investissement, aux parents des pilotes et à nos fidèles partenaires : Yamaha, Ixon, Akrapovič, Pirelli, McDonald’s, S2 Concept, Best of Bike, Sports Progrès…
La saison FSBK 2022 est celle de la moyenne d’âge la plus basse que l’équipe ait connue : 14 ans. Mais le jeune âge ne retire rien au talent, au travail, à l’écoute et à l’évolution. Les sélections des pilotes avaient plusieurs objectifs : intégrer « un team officiel » composé de mécaniciens professionnels, d’un télémétriste, d’une agence de communication, d’un coach sportif, d’un coach de piste, d’un team manager et de toute autre personne pouvant participer à la synergie globale. Les stages sportifs et techniques sont le prolongement naturel de l’accompagnement que propose la FT Racing Academy. Il faut aussi, comme tout sportif de haut niveau, avoir un comportement et une alimentation exemplaires. Tout ceci dans le but d’avoir le meilleur environnement professionnel possible pour mieux préparer l’avenir.
De nombreux grands pilotes sont issus de notre filière dont Mathieu Ginès, champion du monde d’Endurance EWC, Sylvain Barrier, double champion FIM Superstock 1000, Kevin Denis, champion du monde d’Endurance Superstock, David Perret, Louis Bulle, Denis Bouan et Lucas Mahias, dernier champion du monde de Supersport français, pour ne citer que quelques noms. Ils sont des champions de France et des vainqueurs de courses nationales et internationales.
Nous osons croire que notre écosystème accompagne, aide et porte au plus haut nos valeurs ainsi que celles de nos partenaires. Il est l’élément qui nous sert de levier pour élever nos futurs pilotes professionnels. Et si vous voulez savoir ce que chacun pense et dit tout haut, alors lisez la suite…
Sam Thomas, Fondateur : « Nous sommes en FSBK dans la catégorie Supersport 300 avec tous nos partenaires car c’est la base du championnat français. C’est la catégorie qui compte le plus de participants, le plus de bagarres et le plus de récompenses ! Il n’y a pas d’équivalence en France, car le vainqueur du challenge Yamaha est invité gratuitement par la marque pour disputer la coupe d’Europe bLU cRU. La FT Racing Academy est présente dans le FSBK par pure passion. L’amitié et le professionnalisme que nous partageons avec nos partenaires est sans commune mesure. Notre engagement global sert à aider, accompagner et former les générations de futurs pilotes dans le cadre le plus professionnel possible. Le niveau des pilotes français n’a rien à envier aux pays environnants. La formation est capitale et c’est sur ce point que nous nous concentrons ! Notre équipe est privée et ne reçoit aucune aide extérieure hormis de la part de nos partenaires. »
Marc Fontan, Team manager : « C’est notre troisième année et malgré les aléas des saisons précédentes, nous avons aujourd’hui de jeunes pilotes à l’écoute, qui comprennent comment ça fonctionne et qui ont une très bonne progression. Entre la mécanique, l’acquisition de données, mon coaching et celui de Gilles Cairoli, c’est un ensemble complet. En plus, tous les pilotes s’entendent très bien et ont des environnements familiaux propices à la bonne progression. Nos pilotes sont jeunes, pleins d’avenir et d’espoirs. Tout ce qu’ils apprennent leur servira pour le futur. Nos objectifs sont en train de se remplir à travers la progression de nos pilotes. Ils sont parmi les leaders et leurs chronos sont importants car ils battent des records. Nos pilotes sont devant en faisant la différence eux-mêmes, car les motos n’ont pas évolué depuis 3 ans. Aussi, le Supersport 300 est la catégorie la plus intéressante pour trouver des jeunes talents. La tête de course est systématiquement composée de pilotes très rapides et dans des chronos presque identiques. Cependant, il ne faut pas vouloir aller trop vite et trop loin tout de suite pour les très jeunes pilotes. Les limites d’âges changent et remontent. Elles nous permettent de mieux préparer nos jeunes pilotes sans brûler les étapes. Développer les bonnes aptitudes physiques et mentales est extrêmement important. Ensuite, il faut avoir un nombre élevé de pilotes rapides en plus du besoin de médiatiser le FSBK pour attirer les futurs pilotes et les partenaires tout en créant un vrai évènement. »
Gaëlle Caffarelli, Responsable communication : « Notre but est de mettre en avant l’équipe, les pilotes et les partenaires en immergeant un public novice. Nos publications, que les pilotes et nos partenaires reprennent et partagent, ont pour objectif de diffuser une image positive et professionnelle auprès de tous. Notre accompagnement des pilotes va jusqu’à leur expliquer et mesurer l’importance des médias sociaux, outils incontournables de la communication moderne, qui ont supplanté les moteurs de recherche. C’est une démarche importante pour tous : les partenaires actuels, les futurs mécènes mais aussi pour tous les passionnés de sport moto. Malheureusement, nous n’avons aucune visibilité dans les médias français ; pourtant, les moyens techniques et créatifs sont là. Donc, nous essayons de rendre notre sport et nos pilotes plus visibles et accessibles à tous. Nos partenaires font partie de ce cercle vertueux. La cohésion entre les parents, les pilotes, les mécaniciens, les coachs et tous les encadrants est exceptionnelle ! Il y a une très forte unité où chacun a trouvé sa place, avec de la confiance et des échanges uniques. Nous n’avons pas besoin de nous parler et tout se fait naturellement. »
Famille Plaindoux : « La catégorie dans laquelle nous sommes est celle qui offre les meilleures performances pour les jeunes. Malgré les initiatives existantes, il serait souhaitable que des solutions nationales soient mises en place pour permettre à tous les pilotes de s’entraîner beaucoup plus en limitant les frais, comme ouvrir gratuitement les circuits pour tous les licenciés. La France n’aide pas assez les français à devenir de très bons pilotes, pourtant il y a des moyens. Les aides financières et la médiatisation sont absentes et notre pays ne se donne pas les moyens de rayonner. Dans un pays comme l’Espagne, la moto est un sport national et possède un écosystème solide… L’année dernière nous n’avions pas ce qu’il fallait pour faire évoluer Evann. Une saison complète coûte très cher. Cette année, avec la FT Racing Academy, nous sommes dans ce qui ressemble le plus à une équipe professionnelle et ce dont les jeunes pilotes ont besoin, en individuel et en groupe. Les échanges avec l’équipe et Evann sont très fluides. Il s’entend avec tout le monde et tout est mis en oeuvre dans le cadre le plus professionnel possible avec un coach sportif, un coach de piste, un télémétriste, des mécaniciens, etc. Toute l’équipe a su s’adapter à sa personnalité et le pousse toujours plus à s’améliorer. Et à la fin, ce que nous retenons est que : seul on va vite et ensemble on va plus loin ! »
Famille Dahmani : « L’entente est parfaite entre Enzo, toute l’équipe et les autres pilotes. Il est l’auteur de deux doublés et l’entame de la saison est extraordinaire ! Cette année n’a rien à voir avec la précédente. Pour s’améliorer, Enzo avait besoin d’être entouré de professionnels, donc c’est incomparable. Nous faisions ce que nous pouvions et maintenant nous sommes dans un autre monde en ayant passé complètement la main. La FT Racing Academy est une équipe de professionnels. Sans l’équipe nous n’en serions pas là. Tous les entraînements et l’encadrement sont parfaits. Cependant, à l’image de proches pays comme l’Espagne, il faudrait permettre aux pilotes de pouvoir rouler tous les jours gratuitement et de pouvoir se confronter à d’autres nations. Nous espérons aussi que les limites d’âges et d’autres facteurs ne freineront pas les futurs jeunes pilotes. Dans tous les cas, de bonnes solutions devraient être mises en place rapidement pour améliorer le niveau global du FSBK et limiter les coûts. »
Famille Chaidron : « Le professionnalisme de la FT Racing Academy est un avantage, malgré l’arrivée tardive de Loris dans l’équipe l’année dernière. L’entente avec toute l’équipe est parfaite. Ce sont l’acquisition de données et le travail avec tous les mécaniciens qui font la différence. Alors, malgré le coût extrêmement élevé d’une saison, la démarche de l’équipe doit être saluée au même titre que les initiatives comme l’ancienne école de Johann Zarco. La réduction des coûts devrait être au centre des préoccupations ainsi que les aides apportées aux pilotes et la simplification des machines. Par exemple, il n’y a pas de sport-études… Et sur tous ces points nous pouvons tous nous améliorer. Nous devrions aussi nous inspirer de nos voisins pour monter notre niveau. C’est la même chose concernant l’accompagnement des pilotes et la médiatisation de nos championnats nationaux. Alors, ce que la FT Racing Academy offre aux jeunes est exemplaire ! Une équipe privée et remplie de passionnés a trouvé la bonne voie. »
Famille Masy : « Même si nous sommes arrivés tardivement, la satisfaction est entière, humainement et professionnellement ! Le team est très bien organisé et pointu. La méthodologie de travail est très intéressante et nous plaît énormément. Le fait d’être encadrés et complètement intégrés nous permet de tendre vers un seul but : la victoire ! Notre prototype à moteur Yamaha a été retravaillé par la FT Racing Academy pour l’optimiser par rapport au gabarit et au style de pilotage de Célestin. Avoir de la télémétrie est un énorme avantage pour améliorer son style de pilotage et les résultats sont apparus instantanément. Dès la première course nous avons réalisé 2 podiums et en 6 courses nous en avons totalisé 5. Nous sommes heureux et l’équipe est un atout énorme qui nous permet de nous concentrer sur l’extra-sportif ! Elle nous a fait gagner une année par rapport à ce que nous espérions pour Célestin. Nous n’aurions jamais pu aller aussi vite et aussi haut sans la FT Racing Academy ! Le hasard a laissé la place au professionnalisme. Nous avons gagné en confort de vie, sportif et moral. En plus, nous pouvons nous concentrer uniquement sur le Frelon Barbu ! Nos partenaires sont encore mieux mis en évidence et, maintenant, c’est tout notre écosystème qui est à un niveau professionnel. Cela nous permet de promouvoir notre sport et de nous consacrer entièrement à Célestin, en parallèle du superbe travail de l’équipe. Aussi, le niveau du FSBK est bon mais nous avons envie de nous frotter aux espagnols. Cette année nous avons touché le Graal et nous ne nous voyons pas revenir en arrière ! »
Éric de Seynes, Directeur Général de Yamaha Europe : « La FT Racing Academy est sûrement la structure la plus professionnelle en France, pour épauler et accompagner les jeunes pilotes qui doivent se préparer à exploiter leur talent. Et pour briller à haut niveau, le talent ne suffit pas. Il ne suffit pas non plus de courir et essayer d’avoir des résultats. Yamaha a toujours été le partenaire de l’équipe car Sam Thomas et Marc Fontan ont une juste vision des exigences au-delà du talent. Des exigences comme emmagasiner de l’expérience sur chaque week-end de course, essayer de comprendre comment aborder chaque séance de qualification pour qu’elle rentre dans un processus qui doit amener à la meilleure performance le dimanche de course. L’approche de Marc et de Sam est vraiment très responsable et spécifique, car elle permet aux pilotes, qui le souhaitent, de grandir sans être focalisés uniquement sur la performance pure par rapport aux autres. Ils laissent la place au développement personnel qui servira à chaque pilote tout au long de son parcours sportif. L’accompagnement, le coaching et le suivi aident le pilote à grandir sous toutes ses formes. Aujourd’hui, ce qui est redoutable est que pour espérer briller au plus haut niveau de la discipline, que ce soit en MotoGP ou en Superbike, il faut déjà qu’un certain nombre de paliers de maturité et d’expérience aient pu être franchis avant 17-18 ans ; car il faut déjà être capable de signer des podiums vers 16-17 ans et d’intégrer un championnat du monde avant 19-20 ans, que ce soit en Supersport 300 ou 600, même s’il y a quelques exceptions. Il faut commencer tôt, tout en étant bien accompagné et bien coaché. Commencer vers 12 ans est idéal, en ayant la bonne attitude. Ce qui compte c’est d’avoir le bon accompagnement au bon moment. Et plus on roule, plus on arrive à avoir un pilotage naturel. Il ne faut pas se concentrer uniquement sur les motos de course. À l’image de Toprak Razgatlıoğlu et Johann Zarco, il faut rouler sur tout type de motos le plus souvent possible et dans n’importe quelles conditions. Et la FT Racing Academy est dans cette recherche d’apporter le meilleur apprentissage à des jeunes pilotes en poussant plus loin que le simple chrono. »
Vincent Thommeret, Directeur Général de Yamaha France : « Il faut saluer comme il se doit toutes les initiatives qui soutiennent le sport moto en France, ceux qui accompagnent nos jeunes dans l’apprentissage, l’évolution et la performance. Dans la compétition, quand on se met sur une grille c’est que l’on veut gagner ! L’esprit de compétition est l’esprit du vainqueur, et la compétition c’est du talent et du travail. Sam Thomas et Marc Fontan apportent toute leur expérience aux jeunes en les aidant et les sélectionnant tout en leur permettant de faire beaucoup de roulages. Ils les emmènent vers le haut avec la FT Racing Academy. Ce qui est très intéressant est qu’ils ne s’arrêtent pas au pilotage et développent l’ensemble. Ils aident leurs pilotes à être complets tout en véhiculant une belle image qui va de paire avec leurs performances. Notre partenariat intègre parfaitement notre principe pyramidal de filière, des plus jeunes jusqu’à notre champion extraordinaire Fabio Quartararo. Le sommet participe au shower effect qui nourrit toute la pyramide depuis sa base, des plus petites cylindrées jusqu’aux prototypes. Andrea Locatelli est un parfait exemple de notre filière. En Supersport 300, nous aidons le meilleur Challenger à intégrer la FT Racing Academy pour essayer de devenir champion la saison suivante. Ensuite, pour le meilleur pilote Yamaha, il y a la Coupe d’Europe bLU cRU sur une Yamaha YZF-R3 Monster Energy au sein du paddock mondial. Donc, la FT Racing Academy est un élément très important de notre pyramide en étant notre seul partenaire dans cette catégorie. Ils participent à l’ascension des futurs pilotes. Ensuite, en France, il faut redorer le blason de nos championnats. La FT Racing Academy est la seule structure à effectuer un travail de qualité et doit émuler les autres et la fédération pour donner envie à tous, que ce soit aux jeunes garçons mais aussi aux jeunes filles ! Il faut préparer la relève tous ensemble. Et pour réussir, il n’y a pas de secret, il faut rouler un maximum, avoir une base très large de la pyramide et les aider à trouver des financements. Alors, ouvrir les circuits aux pilotes serait une bonne solution de départ pour progresser et performer. La FFM a un rôle très important à tenir. Bien sûr, sans oublier la réduction des coûts et les championnats autres que les Grands Prix. Il faut re-labourer le terrain, planter des graines et faire que l’écosystème global puisse permettre à nos jeunes de travailler fort ! »
Laurent Sancier, Yamaha France : « Malgré leur jeune âge, nous voyons des pilotes qui font attention à leur image et leur communication. C’est très important pour nous, car cela véhicule une belle image de Yamaha. Que le pilote de demain soit professionnel ou pas, grâce à la FT Racing Academy il apprend à communiquer, à essayer d’écrire sans fautes d’orthographe mais aussi à s’exprimer en public au travers des interviews. C’est très important comme le côté sportif. Car tout ce qui est développé au niveau extra-sportif leur apportera quelque chose dans le futur. L’écosystème vit beaucoup sur la passion et l’investissement des parents et des bénévoles. Heureusement que nous les avons pour mettre en valeur le sport moto. Le FSBK est animé et mis en lumière par des pilotes qui sont issus de la filière Supersport 300 alors, c’est la bonne méthode. Le niveau français est vraiment bon et il augmente globalement depuis 3 ans quelles que soient les catégories. Alors, ce championnat pourrait être médiatisé même si j’ai l’impression que nous allons dans la bonne direction avec des courses disputées. C’est très important que la FT Racing Academy sensibilise les jeunes pilotes aux entraînements et aux techniques utilisées par les pilotes professionnels comme la télémétrie et l’acquisition de données. Bien sûr, tout en sachant les utiliser correctement auprès de personnes expérimentées. Et tout ceci avec les apports de Marc Fontan tant au niveau du mental que du pilotage. Nous croyons fermement à la filière Supersport 300, 600 et Superbike 1000 et à toutes les initiatives pour créer une filière française de qualité ! »
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CD